Voici le compte-rendu d’Inès D.
Mardi 21 septembre 2021, nous sommes allés au Portique pour découvrir l’exposition Nécrocéan de Théo Mercier, plasticien-scénographe.
Au premier étage, nous avons observé une de ses œuvres qui se nomme Nécrocean, composée d’une multitude de crabes en bois, de roues, portière de voiture recouverte de petits coquillages, de rochers en résine et de sable. Théo Mercier a visité Cuba et a voulu mélanger l’idée de l’industrie et de l’écologie avec les centaines de crabes fabriqués artisanalement et exposés dans cette pièce.
Il a utilisé de la pierre semi-précieuses, des coquillages et de la nacre. Il a transformé une série d’objets qui ont été abandonnés de leur usage premier ou bien il recouvre les objets d’une peau de nacre, ces déchets collectés prennent alors de nouveau vie et sens .
Nous avons ensuite vu une autre œuvre, intitulée Marée blanche, où il y avait des chaises, des bouteilles, ainsi que des ballons, des paires de tongs etc… qui faisaient penser à des déchets rejetés par la mer. Ces objets semblaient en plastique mais étaient en onyx.
La Possession du monde n’est pas ma priorité est une œuvre avec des pierres de différentes formes ovale, triangulaire, certaines avaient la forme de coraux, elles étaient de différentes couleurs. Ce sont des décorations d’aquarium que collectionne l’artiste. Cette œuvre est un ready-made c’est-à-dire un objet déjà fait et exposé comme une œuvre d’art (concept inventé par Marcel Duchamp).
Puis nous avons fini par visiter la dernière œuvre Panorama obsolescence, c’est une pièce avec des colonnes de CD noirs sur des marbres noirs qui faisaient penser à une sorte de ville.